Mure Homme Marie Sexe
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L'épouse fidèle et bonne ménagère que les gens du monde honorent enparoles, mais s'empressent de fuir et de laisser se morfondre au foyer conjugal,isole l'homme de ses semblables, engendre et développe dans son sein lajalousie, cette passion antisociale, qui empoisonne de bile le sang, et l'emprisonnedans son chez soi ; elle le mure dans l'égoïsme familial. La courtisane,au contraire, libère l'homme du joug de la famille et des passions.
En effet, le problème de la représentation est justement là où l'artiste risque de produire d'autres symboles qui le répriment pour rendre le corps des femmes signifiant, Jean-Thierry Maertens [4] rappelle que l'entreprise symbolique de marquer le corps est liée fondamentalement au discours phallique, au discours du pouvoir,à celui du père. Il précise: "Tels sont les cas du tatouage de puberté qui rend, dans les sociétés primitives, ce corps échangeable, des excisions génitales qui servent le même but, de certaines parures vestimentaires disposées sur le corps de la femme pour désigner le statut social de l'époux". Mais en deçà de ce marquage symbolique qui fait du corps un lieu dominé et par là signifiant, corps "qui vit (...) dans l'auto jouissance de lui-même", corps féminin qui selon cet auteur rejette spontanément toute entreprise qui le classifie, le réduit en parties et ce, dans la mesure même où la femme tire de son corps une jouissance sans comparaison au plaisir (masculin?) fondé sur la fragmentation du corps, sur sa symbolisation. "Le corps de la femme est du côté de la vie qu'il donne et entretient" [5] et ce corps est un tout, non une partie, non un fragment. Dans un système de représentation organisé par les hommes, le corps n'est socialement reconnu qu'en autant qu'il porte les marques qui en déterminent le sexe, l'âge, le rôle, le statut. En autant qu'il est étiqueté, fragmenté, fétichisé. 2b1af7f3a8